Depuis quelque temps, on ne parle plus que du CBD, car à l’inverse du cannabis, il est connu pour ses propriétés thérapeutiques, et c’est prouvé par plusieurs études. C’est le composant relaxant du cannabis. Pour cette raison, il est autorisé en France et dans d’autres pays. Mais pour bien comprendre le CBD, il faut savoir d’où il provient.
La provenance du CBD
Le cannabidiol en abrégé CBD comme chez https://kuch.fr/ est une molécule qui est produite naturellement par les fleurs du cannabis. Concrètement, il vient des plantes annuelles de la famille des cannabaceae, leur nom scientifique est le cannabis. Dans sa dénomination française, ce type de végétale est appelé le chanvre. C’est une espèce dioïque, c’est-à-dire qu’il y a des plants femelles et mâles. Le CBD est surtout produit par les fleurs femelles de certaines variétés de la plante, et elles sont groupées en cyme de manière compacte et pourvues de bractées, ce sont de longues pièces florales en forme de feuilles. Il est créé par les trichomes, des glandes en importante quantité sur la sommité florale et en petites proportions sur les feuilles et les tiges. C’est dans leurs sécrétions résineuses que la molécule se concentre. Ce sont les fleurs de chanvre qui fait la photosynthèse, elles convertissent en énergie chimique la lumière et le carbone qu’elles absorbent ainsi que l’eau transportée par les racines. Les tiges des trichomes, les structures glandulaires microscopiques présentent surtout sur les fleurs de chanvre, s’en servent afin de produire cette substance. Quand elle arrive dans la tête des trichomes, les rayons UV participent également à la biosynthèse créant ainsi les molécules comme le CBD. Ses composants et ses proportions changent suivant la variété de cannabis et leur environnement.
L’extraction du CBD
On trouve plusieurs techniques d’extraction du CBD de la plante, mais les plus connues sont l’extraction par CO2, l’extraction par l’huile et l’extraction par l’alcool. La première méthode utilise le dioxyde de carbone (supercritique). C’est un gaz, mais on augmente la pression de l’air pour qu’il agisse comme un liquide. Ensuite, le CO2 liquide est employé pour éliminer le CBD de la plante de chanvre. L’atout de cette technique est que cette dernière n’est pas chauffée, ce qui fait que les substances sensibles à la chaleur sont retenues. Donc, tous les ingrédients sont intacts. La deuxième méthode demande un chauffage, et ce sont uniquement les bourgeons du chanvre qui sont employés, car ils renferment plus de CBD que le reste de la plante. Avec l’échauffement, tous les autres ingrédients sont perdus, on n’a plus que le CBD pur. L’avantage de cette extraction est le goût de l’huile qui est plus agréable. La troisième méthode utilise seulement aussi les bourgeons qui sont plongés dans l’alcool un certain temps. Ainsi, le CBD se dissout ensuite, l’alcool s’évapore ne laissant plus qu’une pâte collante avec du CBD.